Le campus prometteur: le cœur du Quartier de la Création

Intervention de Benjamin Mauduit, conseiller municipal de la ville de Nantes
conseiller Métropolitain
Conseil métropolitain du 29 avril 2016


Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Le futur pôle universitaire interdisciplinaire, dédié aux cultures numériques et aux industries créatives, s’inscrira au cœur du Quartier de la création, sur l’ïle de Nantes et au centre de notre démarche Nantes Tech.

Ce Campus Prometteur permettra aux acteurs des filières numériques présentes dans le Quartier de la Création, d’imaginer, d’innover et d’expérimenter.

Le Campus Prometteur renouvellera notre modèle universitaire en bousculant les barrières académiques pour former les futurs professionnels et citoyens de demain. Il promet de réinventer l’ensemble des liens entre les acteurs de la formation, de la recherche, de l’économie et de l’innovation. Continuer la lecture de « Le campus prometteur: le cœur du Quartier de la Création »

La création de la C9 a encore franchi une nouvelle étape

Intervention de Michel Caillaud, conseiller municipal de Saint-Sébastien-sur-Loire, conseiller métropolitain
Conseil métropolitain du 29 avril 2016


Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Je souhaite rapidement prendre la parole afin de féliciter les agents de la Semitan et de Nantes Métropole pour la qualité de la consultation qu’ils ont su organiser.

Et, je ne doute pas qu’ils sauront adapter, dans la mesure du possible, certains aménagements pour faciliter la vie des habitants et des commerces. C’est en effet essentiel pour accueillir au mieux cette nouvelle ligne de transport collectif. Continuer la lecture de « La création de la C9 a encore franchi une nouvelle étape »

Grand débat Transition Énergétique: une chance d’agir!

Intervention de Fabienne Padovani, adjointe au maire de Nantes, conseillère métropolitaine
Conseil métropolitain du 29 avril 2016


Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Johanna Rolland, Fabrice Roussel et Pierre Hay ont déjà insisté sur ce point : Nantes est une ville pionnière en matière de transition énergétique.

Car nous œuvrons déjà, au quotidien, pour une métropole compacte, facile à vivre, qui considère avec respect sa trame verte et bleue, œuvrant pour la préservation de la biodiversité dans tous nos quartiers, dans nos 24 communes. Continuer la lecture de « Grand débat Transition Énergétique: une chance d’agir! »

Grand débat Transition Energétique: une nouvelle expérience citoyenne à la Nantaise!

Intervention de Pierre Hay, Maire de la Montagne, conseiller métropolitain
Conseil métropolitain du 26 février 2016


Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Nantes est une métropole pleinement engagée pour la transition énergétique. Nous sommes une ville pionnière en ce domaine, ce, depuis près de vingt ans, notamment grâce à notre premier Agenda 21, écrit au début des années 2000.

Le développement durable accompagne toutes nos politiques, chaque fois que nous souhaitons améliorer la qualité de vie, accompagner la culture ou favoriser la cohésion sociale. Continuer la lecture de « Grand débat Transition Energétique: une nouvelle expérience citoyenne à la Nantaise! »

Les 24 maires de Nantes Métropole se sont rencontrés au sujet des Roms

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Les 24 maires de Nantes Métropole se sont réunis, ce vendredi matin 25 mars, afin d’évoquer le sujet des populations Roms présentes sur le territoire des 24 communes.
A cette occasion, il a été rappelé qu’il n’entre pas dans dans les attributions de la Métropole de gérer en propre cette question qui relève, en droit, de l’Union européenne, de l’État et des communes.
Mais parce qu’elle concerne chacun des 24 maires et qu’il est nécessaire de coordonner les actions pour faire progresser la situation des populations, les Maires se sont accordés sur quatre points :
1) Les Maires tiennent à s’inscrire dans une démarche alliant humanité et fermeté;
2) Ils souhaitent un échange avec le Préfet pour mobiliser l’État sur ce dossier et lui demandent d’organiser rapidement un temps de travail;
3) Ils valident la mise en place d’un groupe de travail intercommunal pour faire des propositions concrètes dans les mois à venir;
4) Conscients de la complexité de ce sujet, tous les Maires s’accordent sur le fait que la démarche initiée ce matin n’est que le début d’un processus long qui nécessite l’implication de tous les acteurs concernés.

Bientôt, une nouvelle génération de Busway !

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La ligne 4 est empruntée chaque jour par plus de 38 000 voyageurs. Depuis sa création, le succès du Busway n’a jamais été démenti et fait partie du quotidien de ses utilisateurs, venus de la métropole et du sud de la Loire-Atlantique. De projet d’avant-garde, il est même rapidement devenu un exemple à suivre par de nombreuses autres villes de France et d’Europe. Continuer la lecture de « Bientôt, une nouvelle génération de Busway ! »

Économie sociale et solidaire: travailler autrement dans notre métropole !

L’Économie Sociale et Solidaire est une opportunité pour notre métropole. Elle représente près de 2570 structures et 35 700 emplois dans notre agglomération, soit 16 % des emplois privés – au lieu de 12 % sur le territoire national.

L’ESS, c’est du concret : elle irrigue déjà notre société. Ce sont les services de proximité à la personne, la création d’entreprises par des demandeurs d’emploi – aidée par les acteurs de la micro-finance-, l’achat raisonné de produits et services (commerce équitable, ressourceries, filières de recyclage), les banques mutualistes où les sociétaires sont aussi les décideurs, les organismes mutualistes de santé, de prévoyance et d’assurance… Continuer la lecture de « Économie sociale et solidaire: travailler autrement dans notre métropole ! »

Une nouvelle étape pour le transfert du MIN

Gérard Allard, Maire de Rezé, conseiller métropolitain
Conseil métropolitain du 26 février 2016


 

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Le transfert du marché d’intérêt national franchit une nouvelle étape et prend une nouvelle dimension, à même de constituer un élan supplémentaire au développement économique du Sud de notre agglomération.

Car, si l’enveloppe financière du projet évolue, c’est bien parce que ce transfert a séduit les professionnels du secteur et qu’ils sont plus nombreux que prévus initialement. Ceux-ci, en acceptant de déménager à Rezé, reconnaissent la qualité et l’attractivité des aménagements prévus. Les sociétés concernées sont convaincues que le nouveau MIN leur permettra un nouveau développement.
L’ajustement, à la hausse, de ce projet est, bien sûr, la preuve de son intérêt économique et commercial.

C’est une très bonne nouvelle, que nous devrions toutes et tous, ici, accueillir avec satisfaction.

Si le transfert du MIN est déjà un succès, c’est parce que que ce projet est le résultat d’un vrai dialogue, prenant largement en compte enjeux sociaux et sociétaux auxquels sont confrontés les entreprises qui y travaillent. D’ailleurs, la phase de co-construction leur a permis d’adapter notre projet pour profiter au mieux de ce nouveau site et des opportunités de développement qu’il leur offre.

Le MIN n’est pas seulement un aménagement urbain. Il est un outil structurant au service du développement économique de notre métropole et même d’au delà, rayonnant dans toutes la région des Pays de la Loire, mais aussi dans tout le Grand Ouest.
Il permettra la création de nombreux emplois par les entreprises du BTP qui seront concernées par ces chantiers successifs. Et, je sais qu’une attention toute particulière sera portée aux clauses RSE et d’insertion, afin que ce chantier permette à toutes et tous, entreprises, salariés, de trouver leur place dans ce projet de construction.

Nous ne pouvions nous priver d’une telle opportunité. D’autant que l’espace libéré par l’actuel MIN nous permettra de créer un véritable quartier de la santé sur l’Île de Nantes et de continuer d’urbaniser autrement le cœur de la métropole.
Au delà de la question du MIN, il s’agit bien, aussi, je me permets de la rappeler, de créer, à Nantes, l’hôpital public du XXIème siècle, en lien avec l’Université, la recherche, les entreprises, la ville et ses habitants.

Et j’ajouterai chèr-e-s collègues, que le transfert du marché contribuera à réorganiser les échanges entre le Nord et le Sud de la Loire, comme il contribuera à rééquilibrer l’emploi des deux côtés du fleuve.

Enfin, avec ce nouvel aménagement, nous avons l’opportunité de déployer une centrale photovoltaïque de 40 000 m², à même de produire l’énergie nécessaire au bon fonctionnement des systèmes électriques et de réfrigération du parc d’activité. C’est, bien sûr, un investissement conséquent. Mais cet aménagement contribuera à remplir les objectifs du Plan Soleil et de développement des énergies renouvelables sur le territoire métropolitain.

Décidément, nous ne pouvions passer à coté de cette opportunité.

De plus, je profite de cette délibération pour rappeler qu’au même titre que le développement du pôle agroalimentaire ou des aides à l’agriculture que nous venons de voter, le transfert du MIN est aussi une réponse aux défis économiques et sociaux d’un secteur qui en a bien besoin en ce moment.

Mes chèr-e-s collègues, aujourd’hui le transfert du MIN devient plus réel encore. Les entreprises concernées ont toutes manifesté concrètement leur envie de s’y installer et de s’y développer, grâce à des infrastructures modernes et parfaitement adaptées aux spécificités de leurs activités.

Il contribuera aussi à une meilleure organisation de notre territoire, tant du point de vue de la localisation des emplois que des transports logistiques. Et, le MIN verra son empreinte énergétique diminuée, dans le souci d »une transition énergétique durable et en lien avec les besoins des entreprises.

Cette délibération marque donc un nouveau tournant dans le transfert du marché d’intérêt national. C’est pourquoi, en ma qualité de conseiller métropolitain et habitant de Rezé, j’appelle l’ensemble des élus de cette assemblée à se prononcer en sa faveur.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,
Je vous remercie.

Notre métropole a besoin de l’agriculture, et aujourd’hui l’agriculture a besoin de notre soutien.

Jocelyn Bureau, conseiller municipal de la ville de Saint-Herblain, conseiller métropolitain.
Conseil métropolitain du 26 février 2016


 

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

La dynamique agricole de notre métropole est indéniable. Depuis 2009, 900 hectares ont été remis en culture, dont 450 depuis 2011, grâce à l’action conjointe des communes, de la chambre d’agriculture et des agriculteurs eux-mêmes, réunis au sein des groupes communaux. Notre territoire compte ainsi près de 16.000 hectares de zones agricoles, pour près de 350 exploitations et environ 1.400 emplois.

Avec le lancement du programme de valorisation des friches agricoles, la métropole a vu la création de 12 nouvelles exploitations, et 39 se sont agrandies ou diversifiées depuis 2011.

Nous souhaitons pérenniser durablement notre politique de soutien à l’agriculture. L’adaptation des modalités d’aides pour le défrichage en est une preuve.

Nous nous donnons ainsi les moyens de mieux garantir la vocation agricole de certaines terres périurbaines, comme nous facilitons l’accès au foncier pour les producteurs.

Cette démarche s’effectue de concert avec des porteurs de projets en lien, avec les acteurs de l’agriculture, avec pour objectif de développer les circuits courts et promouvoir la consommation de produits locaux.

Nous portons aussi une attention toute particulière au développement des pratiques respectueuses de l’environnement, à même de contribuer à la réalisation de notre Plan Climat.

En ces temps de crises à répétition du monde agricole, voilà, peut–être, une réponse supplémentaire, de notre collectivité, aux attentes et aux besoins présents et futurs des agriculteurs et des éleveurs.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, je profite de cette occasion pour rappeler avec force l’engagement de notre majorité et plus particulièrement de Jean-Claude Lemasson, en faveur de l’agriculture périurbaine, et ce au delà de la question des aides financière au défrichage.

L’agriculture périurbaine, hier comme aujourd’hui, à l’est comme au sud de la métropole, est aussi constitutive de la forme de notre cité et de certains de ses paysages.

Elle participe de notre aménagement du territoire. Et c’est un choix assumé et opportun qu’est le notre de soutenir la dynamique agricole de notre territoire, en limitant l’étalement urbain, grâce à un urbanisme maîtrisé.

Lorsque nous transférons le MIN au Sud de la Loire,
Lorsque nous soutenons le pôle agro-bio, nous encourageons certes le développement de ce secteur important de l’agro-alimentaire, mais nous contribuons à l’aménagement spatial et logistique de notre métropole.

Mais, je veux le souligner, cette démarche laisse aussi une large place au dialogue entre les différents acteurs du secteur, en faveur d’une agriculture dynamique, innovante et viable, prenant en compte les enjeux environnementaux et les demandes sociales.

Nantes Métropole travaille en étroite collaboration avec différents partenaires, dont la Chambre d’agriculture de Loire-Atlantique sur de nombreux sujets techniques, la Société d’Aménagement Foncier et d’Etablissement Rural (SAFER) dans le cadre de préemptions, ou le Conseil Général de Loire-Atlantique, dans le cadre de la mise en œuvre de Périmètres de Protection des Espaces Agricoles et Naturels (PEAN).

Notre pôle agroalimentaire, permettra de structurer cette filière, la plus importante en termes d’emplois pour notre région. Et d’ailleurs, pour mémoire, avec ses 4600 entreprises et ses 50 000 emplois, les Pays de la Loire sont la deuxième région agroalimentaire de France.

Nous savons toutes et tous l’importance de cette filière pour l’économie de notre métropole et de notre région.

Il est d’ailleurs une institution remarquable sur laquelle nous pourrions plus nous appuyer pour favoriser l’agriculture sur notre territoire. Le Lycée agricole public Nantes Terre Atlantique, je peux vous l’affirmer en qualité d’administrateur, est en résonance avec nos objectifs.
Par l’excellence de son enseignement, axé sur les principes de développement durable, par la formation professionnelle et l’apprentissage, des vocations peuvent émerger pour s’enraciner sur notre territoire.
Et des partenariats peuvent être conclus à destination des chantiers d’insertion pour maintenir la vocation agricole de certains espaces de notre territoire.

Des candidats à l’installation peuvent être accompagnés et conseillés sur la zone test créée sur le site Rieffel à Saint-Herblain.

Enfin, la création d’une légumerie sur le site peut également être un débouché pour les agriculteurs de notre métropole, soucieux de transformer leur production dans un cadre éthique, en circuit-court.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, les actions multiples et innovantes que nous menons au quotidien, en faveur de l’agriculture périurbaine, font de la métropole nantaise un exemple reconnu aux niveaux local et national. Elles montrent que l’agriculture a toute sa place dans la ville. Elle fait même partie de son identité, de son attractivité.

L’agriculture périurbaine est, enfin, une opportunité donnée à chaque habitant-e d’optimiser sa consommation. Elle offre la possibilité de manger des produits locaux, ayant un impact moindre sur notre environnement, notamment s’ils sont issus d’une filière biologique.

Notre cité a besoin de l’agriculture, et aujourd’hui l’agriculture a besoin de notre soutien.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,
Je vous remercie.

Seul le prononcé fait foi.

Nantes Métropole, territoire « Zéro déchet, Zéro Déchet »!

Intervention de Dominique le Berre, adjointe au maire de la ville de la Chapelle-sur-Erdre, conseillère métropolitaine.
Conseil métropolitain du 26 février 2016


 

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,

Participer au projet « territoires zéro déchet, zéro gaspillage» est une démarche volontaire et collective. Il doit nous permettre de réduire et de revaloriser une part maximale de nos déchets, dans une dynamique d’économie circulaire.

Notre participation à ce projet est d’abord une reconnaissance des actions engagées dans le cadre de notre plan déchets 2014-2020, mais aussi un encouragement à poursuivre nos efforts. Nous expérimenterons dans ce cadre des actions innovantes, en matière de gestion de nos déchets.

Notre politique s’articule d’abord autour de trois leviers : la réduction de la production de déchets, la garantie de l’efficience du service public et la transformation des déchets en une véritable ressource.

Et notre participation au projet « Territoire zéro gaspillage, zéro déchet » nous y aidera, notamment grâce à l’accompagnement de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie et au protocole d’accord du Contrat d’Objectifs Déchets Économie Circulaire.

Pour poursuivre, comme approfondir notre action, tout l’enjeu sera de passer de la gestion des déchets à leur valorisation. C’est à dire, d’une logique où le déchet devait être éliminé à une logique où il devient une ressource à valoriser.
Ainsi, la chaleur issue de l’incinération des déchets nous permet déjà d’alimenter en partie nos réseaux de chaleur.

Mais, la valorisation des déchets passe aussi par le développement du compostage individuel et collectif dans nos 24 communes.

Elle passe également par le dépôt, dans les déchetteries et les éco-points, des déchets trop volumineux pour être collectés en porte à porte. Nous continuons d’ailleurs de soutenir la qualité de service de ces sites, grâce à un programme d’investissement volontariste sur le mandat.

De plus, neuf déchetteries de la Métropole disposent d’un espace de don en lien avec des ressourceries, structures locales de l’économie sociale et solidaire, qui collectent des objets et leur donnent une seconde vie. Et, à ce sujet, je pense en particulier, à l’Atelier du Retz Emploi, à L’Homme Debout, ou encore à La Ressourcerie de l’Île.

Il convient aussi, bien sûr, d’adopter un comportement responsable, au quotidien, et de consommer autrement, ce, afin de réduire le gaspillage alimentaire.

Enfin, je profite aussi de l’examen de ce projet de délibération pour rappeler que cette politique nécessite un service public universel et de qualité, poursuivant un objectif d’excellence environnementale. La qualité du travail quotidien des opérateurs publics et privés de collecte est d’ailleurs reconnue par les usagers, et nous pouvons leur en être reconnaissant, au regard du travail quotidien accompli.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues, la réduction de nos déchets ne doit pas être considérée comme une contrainte. Bien au contraire ! Elle est un moyen de préserver les ressources naturelles, de réduire la pollution, et de minimiser l’impact de notre activité sur le climat. En somme, une nouvelle manière d’envisager nos rapports aux choses.

Mais, en faisant des déchets une ressource, nous développons aussi l’économie circulaire, et nous créons donc de nouveaux emplois. Car, dans notre métropole, nous associons toujours préoccupation environnementale et la question de l’emploi.

Avec le projet « Territoire zéro gaspillage, zéro déchet », comme avec la participation de l’ensemble des acteurs de notre territoire, nous parviendrons, j’en suis sûre, à réduire de 10% la production de déchets ménagers, soit une baisse de 45kg par habitant et par an.

C’est un objectif à la fois ambitieux et nécessaire, dont nous accompagnons la réalisation, au quotidien, grâce à une politique de réduction, de gestion et de valorisation des déchets exemplaire, dans le cadre de notre protocole d’accord CODEC avec l’ADEME.

Aussi, chèr-e-s collègues, je vous invite à vous prononcer en faveur de ce projet de délibération.

Madame la présidente, chèr-e-s collègues,
Je vous remercie.